je ne suis pas arrivée à réparer le blog; mais j'ai décidé de revenir un peu quand même.
(mourir)

sinon, ça fait un mois que c'est la rentrée et allez tous voir Biutiful au cinéma.

si quelqu'un sait comment on enlève cette impression horrible de relief qui délimite le cadre des articles, je suis preneuse : je suis victime d'une nouvelle mise en page qui n'est pas de mon fait et qui pue du slip

une photo comme-il-se-doit

(sérigraphie, 2 passages, un peu moins de 40x60 cm, papier rivoli je crois)

c'est l'été : je lis et regarde le monde de très loin.

et je fais quelques photos avec du flou et du bruit pour garder la forme, hein.

voilà

la maison brûle !

et tu t'évertues, toujours, à disparaître.

quand je dors, je rêve de cages.

et puis j'ai plus de cerveau -j'écoute trop Nostalgie- alors me parlez pas.

tout est dit

je veux et j'exige un cucurbitacée

le montagnard était bon; le nordique également. 

en ce moment, on guette le moindre rayon qui perce entre les stores, puis on s'éveille.

au programme de mes semaines : arc et flèches, rire et faire rire, v. et w.

et et et !

P.S : si jeff wall, lénine, nicolas poussin, paul gauguin, jfk, francis ford coppola, emmanuel kant, erik satie ou/et encore superpapa commentent cet article, je les salue et leur promets de leur offrir à un café lors de notre prochaine rencontre. pour qu'on en discute !

hiberner.

et j'ai pas trop envie de dire des choses.

(je garde pour moi les lumières matinales)

et les illusions donnent sur la cour